Ne me demandez pas pourquoi, mais j'aime ce mot, tout simplement. Il sent le soleil, la joie de vivre. Ce mot me sourit.
Caractérise en outre certains de mes clients. Implique alors un effort non négligeable de synthèse de ma part...
Encore un mot qui me rappelle mon enfance. J'aidais ma grand-mère à confectionner des fagots de sarments de vigne. Ceux-ci étaient bien pratiques pour allumer le feu dans la cheminée. Posés verticalement, au milieu d'un grand cercle de cendres, ils permettaient aussi de "regrouper" les escargots en attendant de les préparer.
Ou "fusil d'assaut de la manufacture d'armes de Saint-Étienne". Mon premier tir avec cette arme de guerre (calibre 5.56) remonte à 1984...
Diane de Beausacq a dit : « La famille est un ensemble de gens qui se défendent en bloc et s'attaquent en particulier. »
Il y a quand même un peu de ça, non ?
Je n'aime pas les fanatiques, quels qu'ils soient. Je n'aime pas le fanatisme. Trop réducteur, trop simpliste, indigne du genre humain... Et pourtant si humain.
Les répliques de trois fanions qui ont jalonné ma carrière prônent en bonne place dans mon bureau : escadrille d'hélicoptères de reconnaissance du 1
er RHC, détachement ALAT au Kosovo, détachement ALAT en Côte d'Ivoire.
Vous ne pensiez tout de même pas que j'allais vous dévoiler les miens ici ?
Mot sulfureux, presque tabou. Merveille (ou horreur) engendrée par notre cerveau. Doit être maîtrisé, afin d'en faire le terreau fertile de l'imagination. Dans ce cas, signe de bonne santé... mentale.
On a tous le nôtre. Plus ou moins lourd.
Le mot d'actualité par excellence ! Le mot qui fait rêver la moitié du pays, pendant que l'autre moitié le vit.
Permet d'oublier quelques instants, quelques jours, le mot précédent...
Encore une horreur du genre humain. Je le range dans la même poubelle de déchets de l'intelligence (la mode est au tri sélectif) que le communisme, l'islamisme, et autres cancers du même genre.
Si si, c'est dans le dictionnaire, vous pouvez vérifier.
On est loin, très loin de la gastronomie française, là. D'un autre côté, de temps en temps, ça dépanne...
Mon gibier préféré.
Un peu de douceur dans ce monde de brutes !
Celle de Béziers, par exemple. Période de fête et de convivialité mais aussi, malheureusement, de débordements en tous genres. Et il me semble que c'est de plus en plus vrai au fil des années...
Pour le 2, mais aussi pour le 14. Et aussi pour le fait que c'est le mois le plus court de l'année.
Il en faut. À ne pas confondre avec l'orgueil.
J'aime. Et c'est indispensable pour obtenir un travail abouti. Attention, parfois le mieux est l'ennemi du bien.
Les miens. Probablement ce que j'ai fait de mieux ici-bas. Et j'en suis fier.
No comment...
Ah ! Quel doux mot ! La douceur du diable, bien sûr. Celle qui malmène votre bonne conscience et l'estime que vous pouvez avoir de vous-même. Petit plaisir défendu à déguster avec beaucoup de modération et régulièrement.
Sport de manchots. N'est plus ce qu'il a été, disent certains. Sport-business par excellence, et donc en avance sur les autres sports, y compris le rugby dont il ne se différenciera plus, bientôt, que par la qualité des supporters (+1 pour le ballon ovale sur ce coup-là). Néanmoins, je suis un "fan" du ballon rond, et je n'en ai pas honte.
Parcelle terrestre (et maritime) de la planète terre d'environ 675 000 km
2, autant dire pas grand-chose, mais qui a marqué profondément l'histoire de l'humanité. Un peu moins aujourd'hui. Peuplée de Français (en grande majorité) dont la réputation n'est pas des plus brillantes. Pays qui possède la classe politique et les syndicats les plus c** du monde. Mais je l'aime. Et je l'ai servi avec fierté pendant plus de 25 ans.
Beurk.
Ce n'est pas vraiment mon "truc". Ma garde-robe ne ressemble à rien.
Se réduisent au minimum décent actuellement (la température oscillant entre 28 et 35 le jour, rarement en-dessous de 20 la nuit), ce qui me convient fort bien !
Que nous réserve-t-il ? Ni l'horoscope, ni Madame Soleil, ni personne n'est capable de répondre à cette question. Alors on tire des plans sur la comète, on planifie, on prévoit, on rêve... Mais finalement, c'est bien le présent qui compte. Alors, "carpe diem" ? J'achète !