Aujourd'hui, c'est pléonasmes.
Enfin, théoriquement. Parce que là, il y a matière à débat :
"Autorisation préalable" est-il un pléonasme ?
On rencontre très souvent cette expression, y compris dans des documents officiels. Vous ne me croyez pas ? Allez donc faire un petit tour sur le site www.interieur.gouv.fr.
Enfin, théoriquement. Parce que là, il y a matière à débat :
"Autorisation préalable" est-il un pléonasme ?
On rencontre très souvent cette expression, y compris dans des documents officiels. Vous ne me croyez pas ? Allez donc faire un petit tour sur le site www.interieur.gouv.fr.
Pourquoi serait-ce un pléonasme ?
L'action d'autoriser quelque chose intervient avant l'acte pour lequel elle est donnée. Elle répond à une demande qui, elle, est préalable et dont on espère un accord, préalable lui aussi.
D'aucuns rétorqueront, et ce n'est pas faux, qu'on voit régulièrement des autorisations données a posteriori. Dans le domaine du remboursement des soins, par exemple, cette situation est assez courante.
Donc, "autorisation préalable" serait plutôt une redondance, mais pas un pléonasme.
Soit.
Je pense personnellement que le problème vient de la confusion avec l'expression accord préalable, qui est quant à elle parfaitement correcte, mais semble peu à peu supplantée par autorisation préalable.
Pourquoi pas.
Le débat étant loin d'être clos, je pose donc ma paire de ciseaux et arrête de couper les cheveux en quatre... Jusqu'à la prochaine fois.
L'action d'autoriser quelque chose intervient avant l'acte pour lequel elle est donnée. Elle répond à une demande qui, elle, est préalable et dont on espère un accord, préalable lui aussi.
D'aucuns rétorqueront, et ce n'est pas faux, qu'on voit régulièrement des autorisations données a posteriori. Dans le domaine du remboursement des soins, par exemple, cette situation est assez courante.
Donc, "autorisation préalable" serait plutôt une redondance, mais pas un pléonasme.
Soit.
Je pense personnellement que le problème vient de la confusion avec l'expression accord préalable, qui est quant à elle parfaitement correcte, mais semble peu à peu supplantée par autorisation préalable.
Pourquoi pas.
Le débat étant loin d'être clos, je pose donc ma paire de ciseaux et arrête de couper les cheveux en quatre... Jusqu'à la prochaine fois.