Aujourd'hui c'est dimanche, alors je ne vais pas vous ennuyer avec je ne sais quelle règle d'orthographe ou figure de style.
Et, cerise sur la galette (frangipane ou pomme ? Moi, je les aime toutes !), c'est le jour de l'Épiphanie. Pour celles et ceux qui auraient oublié l'origine et la raison d'être de cette tradition, je vous renvoie vers cet article.
Nous allons donc tirer les rois. Non, monsieur, pas les reines. D'abord, ça ne fait pas très sérieux de le dire ainsi. Ensuite, à ma connaissance, il y a bien eu des rois mages, mais pas de reines mages. On évitera donc de crier bêtement au sexisme (mais il va bien y en avoir pour le faire, je parierais bien une fève en or massif sur ce coup !). Il ne s'agit pas non plus de la manifestation déguisée d'une quelconque nostalgie royaliste d'un autre âge. On peut bien vivre en république (laïque qui plus est) et fêter les rois. Et faisons-le tant que quelque tyran de la bien-pensance ne vient pas nous montrer du doigt et nous vouer aux gémonies, sous prétexte qu'il s'agit là d'une tradition héritée du christianisme...
Bon dimanche à tous. Sans exception.