Christian BOBIN a dit « Écrire, c'est ne rien oublier de ce que le monde oublie. » Voici qui s'applique bien au récit de vie.
Toutefois, force est de constater que le projet d'écrire des souvenirs personnels, une tranche de sa vie, se heurte à quelques réticences ou inhibitions qui le font avorter la plupart du temps.
En voici les principales, avec les réponses qu'un écrivain public peut y apporter.
« Je ne sais pas écrire » ou « Je fais trop de fautes d'orthographe et de grammaire » ou encore « Je ne sais pas utiliser l'ordinateur (le traitement de texte) pour taper mon récit ».
Là, la réponse est très simple : faire appel à un professionnel de l'écriture. Soit il relira le texte déjà rédigé, soit il le prendra totalement à sa charge, après avoir recueilli, oralement (ou / et par écrit) les éléments nécessaires à la rédaction du récit.
Autre type de réticence : celle liée au contenu lui-même. On ne sait pas trop ce que l'on va pouvoir dire, sur quel ton, dans quel but, pour quel "public"...
Là encore, les conseils avisés d'un professionnel permettront de lever ces réticences. Il pourra en outre aider à orienter le récit, le baliser en quelque sorte, lui trouver des limites temporelles, spatiales, trouver le ton qui conviendra le mieux selon le contexte et la personnalité du "narrateur". Le tout, bien entendu, dans le strict respect de la confidentialité des propos recueillis.
Quant au résultat final, eh bien je dirai que le jeu en vaut la chandelle. Quel plaisir, quelle fierté, de faire lire à ses proches une tranche de sa vie passée, de faire revivre des évènements, des époques révolus, mais dont la mémoire aurait fini par se perdre sans ce récit de vie !
Toutefois, force est de constater que le projet d'écrire des souvenirs personnels, une tranche de sa vie, se heurte à quelques réticences ou inhibitions qui le font avorter la plupart du temps.
En voici les principales, avec les réponses qu'un écrivain public peut y apporter.
« Je ne sais pas écrire » ou « Je fais trop de fautes d'orthographe et de grammaire » ou encore « Je ne sais pas utiliser l'ordinateur (le traitement de texte) pour taper mon récit ».
Là, la réponse est très simple : faire appel à un professionnel de l'écriture. Soit il relira le texte déjà rédigé, soit il le prendra totalement à sa charge, après avoir recueilli, oralement (ou / et par écrit) les éléments nécessaires à la rédaction du récit.
Autre type de réticence : celle liée au contenu lui-même. On ne sait pas trop ce que l'on va pouvoir dire, sur quel ton, dans quel but, pour quel "public"...
Là encore, les conseils avisés d'un professionnel permettront de lever ces réticences. Il pourra en outre aider à orienter le récit, le baliser en quelque sorte, lui trouver des limites temporelles, spatiales, trouver le ton qui conviendra le mieux selon le contexte et la personnalité du "narrateur". Le tout, bien entendu, dans le strict respect de la confidentialité des propos recueillis.
Quant au résultat final, eh bien je dirai que le jeu en vaut la chandelle. Quel plaisir, quelle fierté, de faire lire à ses proches une tranche de sa vie passée, de faire revivre des évènements, des époques révolus, mais dont la mémoire aurait fini par se perdre sans ce récit de vie !
En conclusion, je ne peux qu'encourager chacun, et tout particulièrement les plus anciens, à franchir le pas.
Aujourd'hui il est aisé de trouver des professionnels aptes à réaliser ce type de projet.
Histoire de laisser une trace de ce que le monde oublie...